Au terme de bientôt trois mois en tant que stagiaire chef de projet au sein de l’agence Towords, j’aurais difficilement pu être plus satisfait de mon expérience. Ce stage en gestion de projets m’a fait découvrir cette facette du métier que je n’aurais peut-être jamais découverte autrement. Il s’est déroulé au sein d’une petite équipe de deux, aux côtés de la directrice d’agence Madame Anne Morin.
Être stagiaire chef de projet chez Towords
J’ai pu travailler, dès le départ, dans une atmosphère très bienveillante et des conditions de travail agréables. N’étant que deux, j’ai eu la chance d’effectuer toute une multitude d’activités, rendant ce stage formateur et professionnalisant. Il était donc nécessaire de se montrer polyvalent pour ces différentes missions. Ces dernières m’ont montré ce à quoi ressemblait le monde professionnel de la traduction, du point de vue de l’agence.
En effet, en tant que chef de projet, j’ai effectué plusieurs tâches tels que : préparer un projet en analysant le nombre de mots et répétitions, créer et enrichir des glossaires à partir de traductions, relire le travail de nos traducteurs et parfois revoir la mise en page avant de pouvoir valider et transmettre au client. Bien sûr, j’ai également pu découvrir comment gérer la relation entre une agence et son équipe de traducteurs et interprètes. Il en va de même pour la recherche de nouveaux potentiels traducteurs et interprètes, pour toutes sortes de projets. Un potentiel regret est de ne pas avoir énormément utilisé les outils de TAO. Cependant, il s’agit de quelque chose que je peux perfectionner de mon côté, contrairement aux autres missions que l’on se voit confier dans le cadre d’un stage en gestion de projets.
Certaines activités m’étaient plus surprenantes : la rédaction d’articles destinés au site web WordPress de l’agence ainsi qu’un renouvellement de la mise en page de ce dernier, créer une courte vidéo publicitaire sur le site Canva, aller à la rencontre d’interprètes juste avant leur mission ou encore assister à un évènement tel que « Les Arènes de la Com’ ».
Quoi qu’il en soit, le généreux partage d’expériences et de connaissances n’a pu m’être que bénéfique. Il ne me reste qu’à être capable de les appliquer à l’avenir.